CCLAPS

Présentation du Comité de quartier : CCLAPS : CAMPONAC – CHATAÎGNERAIE – LADONNE – ARAGO – PONTET – SAUVAGE

Le comité est une association ayant pour objet la défense des intérêts des quartiers, notamment :

  • de veiller à la saine administration matérielle des quartiers.
  • d’examiner toutes les questions dignes d’intérêt, propres à défendre et à améliorer le cadre de vie, et d’en poursuivre s’il y a lieu par son activité collective, la réalisation auprès des pouvoirs publics et autres organismes.
  • de favoriser la vie associative en organisant toutes animations collectives et festives ou artistiques en conservant un esprit de tolérance, de solidarité, et de prise de responsabilité collective basée sur le pluralisme.

Les commissions

  • Voirie/urbanisme : J.B Casenave : 07 69 00 07 60, Michel VIAU 06 21 39 08 74
  • Fêtes et animations : Ghislaine Aguilar : 05 56 36 24 10
  • Déplacements : Ghislaine AGUILAR : 05 56 36 24 10, Alain GARRIGOU : alain.garrigou2@wanadoo.fr

Clubs et activités

  • Judo : (membre associé : ASCPA judo) Y. Périat : ascpa@wanadoo.fr
  • D’autres activités peuvent être instaurées : club « questions pour un champion », jeux de cartes, tennis de table, vélo, etc… toutes les idées seront les bienvenues.

Communication : site internet, journal

  •  Jean Yves RUBIO 05 56 15 08 80 et …….. qui le souhaite !

Relations extérieures : Fédération, mairie, inter quartier, associations diverses

  • G. Aguilar (05 56 36 24 10)

Conseil d’administration du centre social :

  • Représentant “CCLAPS” : Jean-Jacques LAVAUD

Informations pratiques

  • Président : Jean-Baptiste CASENAVE
  • Téléphone :07 69 00 07 60
  • Courriel : quartierclaps@gmail.com
  • Maison de quartier : rue Ferdinand Antoune
  • N° tél “bureau” : 05 56 46 38 28 (le samedi : 15h/18h sinon répondeur)

Informations utiles :

  • Repas de quartier + vide grenier tous les ans en Juin/Juillet
  • Les réunions des adhérents du comité de quartier ont lieu le jeudi (20h30/22h30) chaque mois à la maison de quartier
  • Les réunions de bureau ont lieu dans le bureau de la M.de quartier selon les besoins.
  • Le conseil d’administration se réunit 6 fois pendant les deux ans de son mandat.
  • Les différentes commissions se réunissent à la demande de leurs responsables, suivant les différentes actions ou revendications, ou projets d’activités.

Associations : (membres “contact”)

  • ASCPA Judo « la Châtaigneraie » : Président : Yves PERIAT
  • Les Amis du beau et vieux Pessac « Camponac » : Président : Daniel DAUCOUR : 05 56 35 08 93
  • Conseil syndical de la Résidence des marronniers : Présidente : Annie SCHWAGGER : 05 56 45 64 89
  • Association “Pontet-Bougnard-du Luc” Président : Jean-Philippe Dupérier
  • Association des locataires “Bougnard” : Alice GUTTIERREZ
  • Différentes associations de riverains, de propriétaires, ou de locataires : Rés. Le Pontet (Mr THOMAS) , “Sauvage” Mur Antibruit ( Mr AZNAR) , Arago (Mme COURIO), Camponac (Mr LUCAS)

Autres espaces de détente et de loisirs

Centre social de la Châtaigneraie :
44, avenue de la Châtaigneraie : 05 57 02 23 23 Présidente : Danièle ESTOUP, Directeur : Marcel MIRANDA

Installations sportives

Aires de jeux existantes : la Châtaigneraie, Camponac, hall des sports « Collège F. Mitterrand » , École Saint Exupéry

Un peu d’histoire

LE COMITÉ DE QUARTIER CAMPONAC-CHATAIGNERAIE-LADONNE-ARAGO-PONTET-SAUVAGE vous propose un voyage à travers son histoire de 1929 à nos jours, et sans oublier son avenir de part les changements qui doivent encore transformer ce quartier.

Nous commençons notre voyage dans le passé par un des joyaux de notre commune: le château de Camponac.

Celui-ci a été acquis par Monsieur ESCHENAUER en 1875, entouré de 3Hec 50 de vignobles. Ce château a été racheté par la municipalité conduite par Monsieur Dalbos en 1974.

Il a été utilisé jusqu’en 1998 pour les Fêtes des Rosières, les mariages, des expositions ainsi que pour la biliothèque municipale. Nous verrons par la suite à quel point il est désormais tourné vers l’avenir. Le club du 3° Age, ainsi que le siège social des amis du Beau et Vieux Pessac y sont toujours installés.

Le 14 Avril 1929, voit la création du syndicat de défense du puits de La Donne, ce quartier n’était que prairies, bois de châtaigniers et de pins, lagunes: la lande étant toute proche.Quelques fermes de ci de là, en ce temps-là, La Donne était un village dont les rues étaient des chemins de terre : ch du Luc, de Canéjan, de l’ermitage, de Camponac et le boulevard de La Donne.

Nous découvrons au détour des rues : le château du Luc (Sardine), une petite place et des maisons très anciennes dont certaines sont plus ou moins rénovées dans le style d’origine.

Ce qui nous frappe dans tous les lieux déjà visités, ce sont tous ces arbres, toute cette verdure, toute cette eau : elle est partout, si on ne la voit pas, on la devine. Nous savons qu’un ruisseau busé : le Lartigon passe dans le sol de ces quartiers et que bon nombre de blanchisseuses habitant La Donne au 19° siècle, utilisaient les lavoirs et les puits pour leur travaux.

En 1929, à la création du syndicat de quartier de La Donne, à la place de l’école Georges Leygues, construite en 1970, il y avait une ferme. Dans le journal de la fédération régionale des syndicats de quartiers paru en 1939, il est aussi question des avancées obtenues dès 1935 suite aux inondations du quartier Bougnard : buses mises en place ou remplacées. Le goudronnage du chemin de Canéjan et la réfection du boulevard de La Donne ont été effectués, des panneaux indicateurs de direction ont été installés au croisement des 5 chemins sur le boulevard de La Donne. Octobre 1935 vit aussi la création d’un service d’autobus entre Bordeaux et la place de La Donne.

En 1936, le syndicat évita le comblement du puits de La Donne pour servir en cas d’incendie.Il obtint l’installation d’une cabine téléphonique, et un nouvel approfondissement des fossés.

En 1937, l’extension de l’éclairage public, de nouvelles plaques indicatrices sur les chemins dépourvus, et la reconnaissance du chemin de l’ermitage, du bosquet, et bouchon sont accordées par la municipalité.

L’année 38 voit le goudronnage du boulevard de La Donne, ainsi que la mise en place de panneaux indiquant les virages dangereux.

Nous pénétrons dans le quartier des Bosquets, par l’avenue Guittard et l’avenue Bougnard.

Nous trouvons un mélange d’anciennes et récentes constructions, entourées d’arbres plus que centenaires. L’abattage de ces arbres est interdit puisqu’ils font partis du patrimoine. Ces lieux doivent continuer à exister tels quels, tout en sachant qu’il faut être tourner vers l’avenir en permettant au collège Jeanne d’arc de procéder à une extension par une petite unité de lycée, tout en restant très vigilant sur la façon dont sera traitée la circulation piétonne et automobile dans ce secteur.

Tourné vers l’avenir en conservant les richesses du passé! L’avenue Bougnard en suivant CLORO’FIL nous en montre la voie…Le Tramway, un des outils de communication rapide entre les communes n’en est il pas un parfait exemple?

Tout en continuant notre chemin, nous découvrons les différentes résidences du Pontet : elles sont construites en styles divers qui en font malgré tout, un ensemble assez homogène. Nous ne les énumérerons pas!

La verdure est là aussi omniprésente !

Tout en continuant notre ballade vers le quartier de Sauvage, revenons à l’histoire du quartier et de notre comité ….

Le nom du quartier « Sauvage » vient de l’ancien nom de la propriété du Bon Pasteur dans le prolongement du village de La Donne par un chemin, situé sur l’emplacement de la rue R.Clavé. Cette demeure, distincte de celle du château du Haut Lévèque, par un cheminement que l’on peut apercevoir dans les fourrés d’une maison au croisement Avenue Ht Lévèque/R.Clavé. (C’est aussi l’ancien tracé de l’avenue du Ht Lévèque). Le « Bon Pasteur » est actuellement un centre d’hébergement pour jeunes femmes « handicapées mentales ». Les terrains ont été parcellés et donnent ainsi les constructions d’aujourd’hui.

Entre 1939 et 1970, il n’y a aucune trace d’un comité de quartier. En effet, celui-ci renaît en 1970.

La résidence Arago a été construite entre 1963 et 1967. Ce sont des HLM, des parkings, quelques pelouses, quelques arbres et pour la grande « barre » la primeur de la vue sur la voie ferrée et sur la cité Frugès … mais c’est le quartier du Monteil !

Celle de la Châtaigneraie 1 construite en 1965 propose un nouveau contraste, car l’église saint Jacques construite en 1967, fait face au centre social (installé sous la tour en 1977). Au premier abord, il n’y a aucun point commun et pourtant oui …: ils ont été construits à la demande des habitants !

La Châtaigneraie 2 a été construite en 1967.

Cette résidence (1 et 2) paraît beaucoup plus conviviale que la précédente avec ses aires de jeux, ses bancs et ses pelouses. On sent l’effort fait pour la rendre agréable malgré la grandeur quelque peu démesurée de ses bâtiments.

On oublierait presque qu’elle est bordée par la rocade et la voie ferrée !

Auparavant, en 1966, un pré-centre social est créé par le comité girondin des équipements sociaux et culturels.

En 67 création d’un comité de gestion comprenant des représentants des diverses activités et animations et le journal ‘’Entre nous’’ voit le jour à la fin de cette année.

La 1° école fut celle de St Exupéry, puis en 1968, l’ouverture de la maternelle. Les enfants de La Châtaigneraie continuèrent à aller à Edouard Herriot.(Saige)

1971 est l’année de l’ouverture du bureau de poste.

Les différentes revendications du comité concernent : la voirie, le cadre de vie, les animations, l’amicale des locataires d’Arago.

C’est en 1974, que le comité de quartier devient : comité de bienfaisance et de défense des intérêts des quartiers Arago, Ladonne, La châtaigneraie, Le Pontet, Camponac, Sauvage.

Les revendications portent sur ‘’les interférences Rocade-Groupe scolaire Georges Leygues’’, le refus du passage “ supérieur ” des aciéries, le château et le parc de Camponac.

1978 fut une année difficile car émaillée de manifestations et de réunions d’information contre la construction d’un passage supérieur av des Aciéries avec d’autres comités de quartier et quelques associations.

De 80 à 83, le bilan des années fait état des actions menées pour un meilleur cadre de vie et environnemental, ainsi qu’une amélioration de la protection anti-bruit de la rocade, de ce fait de nombreuses manifestations vont avoir lieu pour des équipements spécifiques.

1982 voit l’apparition de l’APLJAC ( association pour la promotion et les loisirs des jeunes d’arago et la châtaigneraie)

En 1984, la construction d’un passage inférieur aux aciéries et celle d’un passage souterrain vers Bacalan est annoncée.

Entre 1985 et 1995 : de nombreuses animations organisées sur le quartier, par le centre social, ou par le comité de quartier. Les revendications portaient sur le cadre de vie, la circulation, la réhabilitation de la Châtaigneraie.

En Février 1993, après 4 agressions à main armée, la poste est fermée. Suite à une pétition de mille signatures, divers courriers, divers articles de journaux : un bureau provisoire est rouvert à son ancien emplacement. Le nouveau bureau, peu satisfaisant encore aujourd’hui, a été inauguré le 2 novembre 1993 dans le centre commercial.

Le collège François Mitterrand, autrefois appelé Ladonne construit en 1965, a été entièrement reconstruit en 1995. 4 à 500 collégiens le fréquentent. Le hall des sports est mitoyen et il est essentiellement utilisé par des équipes de basketteurs.

Sur l’avenue de Canéjan, un lycée professionnel : Philadèlphe de Gerde.

Depuis 1995, le quartier est tourné vers l’avenir par l’installation sur la zone industrielle de nouvelles entreprises. Celle-ci s’étend jusqu’à l’avenue Gustave Eiffel. De l’autre côté de cette avenue, se trouve le château de Bersol situé sur le quartier de Saige. Nous avons l’habitude d’appeler tout ce secteur « Bersol », mais il s’agit bien encore du quartier de Sauvage et d’une ancienne zone de lagunes, très marécageuses sans propriétaire connu. L’autre partie de la zone industrielle (aprés Bersol) est située sur la commune de Gradignan.

L’AFPA est là aussi pour prouver l’importance des compétences professionnelles.

L’avenir, avec un grand A, lorsque nous entrons dans la médiathèque inaugurée en Septembre 2000, et que, nous découvrons au travers de ses surfaces et de ses ouvertures, le projet de conserver un ensemble homogène, tout en accordant les lignes futuristes par le verre et le bois avec les lignes anciennes de la pierre du Château de Camponac.

Tout est conçu pour laisser entrer la lumière tout la maîtrisant afin que petits et grands puissent y lire, y travailler en toute sérénité.

La médiathèque confirme par sa conception tout son projet orienté vers le futur et nous incite à le découvrir avec elle : ses salles de lecture avec leurs rayonnages, ses espaces spécifiques aux adultes et aux enfants, tout en gardant un regard sur le passé par l’historial.

Cette salle, permettant aux plus jeunes d’apprendre le plaisir de la lecture est particulièrement adaptée à leur taille, donc facile d’accès, avec des couleurs vives les incitant à s’asseoir et à respecter le calme de ces lieux.

Les couleurs sont chatoyantes et le calme règne dans la salle de musique.

La médiathèque est reliée totalement à l’avenir de la communication par un de ces outils devenu essentiel : l’ordinateur et la connexion à internet.

 

Les fêtes de la Rosière se sont déroulées jusqu’en 1998 dans le Parc de Campnac, désormais elles sont au château Ragot-Casalet. En  2002, Julie LAUNAY a été la rosière de ce quartier.

Le centre social après bien, des déménagements et quelques déboires est encore actuellement un des lieux où se tissent des liens quasi indestructibles, où l’avenir de ce quartier, ses fêtes, ses animations, ses actions passent inexorablement.
Depuis, déjà bien des années, le comité de quartier a travaillé avec lui afin de maintenir un bon partenariat pour certaines actions.
Depuis 1999, le comité de quartier s’est efforcé de recréer des liens qui commençaient à s’estomper, en raison des changements de personnes de part et d’autre. C’est ainsi que nous avons pu réorganiser des repas de quartier en commun, des lotos ainsi que certaines réunions concernant diverses actions à mener : terrain de sport à l’école Saint Exupéry par exemple, ou le redémarrage du journal ’’Entre nous’’.
Le centre social doit être rénové, et son extension est aussi envisagée dans l’ avenir.
C’est dans la rue Ferdinand Antoune que sera construite la maison de quartier que nous attendons pour l’automne 2005. Nos projets sont importants et notre souhait est d’avoir la possibilité de nous retrouver dans des lieux pour que puisse se faire une véritable distinction entre le centre social et le comité mais tout en continuant nos actions communes.
C’est tout ce secteur qui a été restructuré, des nouvelles résidences ont vu le jour, occupées par des propriétaires et locataires, l’entrée des écoles et la circulation de la rue ont changé d’aménagement. Les travaux sont terminés depuis Avril 2003.

Histoire du quartier
Histoire du quartier
Histoire du quartier
Histoire du quartier
Histoire du quartier
Histoire du quartier
Histoire du quartier
Histoire du quartier

Journal du quartier : Entre Nous

Dès 1999, nous nous sommes rendus à l’évidence que pour recréer un lien réel entre tous les habitants de ce quartier, il nous fallait un moyen de communication, un journal qui d’ailleurs avait déjà existé sous le même titre dans les années 80. Nous avons contacté le centre social de la Châtaigneraie pour travailler en partenariat sur ce projet, mais celui-ci subissant de multiples changements internes n’a pu concrétiser ce projet. Nous avons décidé dès l’assemblée générale en 2001 de le lancer seul avec l’aide de la MOUS (service « Politique de la Ville de Pessac »). Ainsi, le 1° tirage a vu le jour en Janvier 2002.

Fete des GAHETS (2002)

Le 31 Août 2002, nous avons été invités au repas du lotissement des Gahets. Ce repas est organisé par les propriétaires et locataires de ce quartier depuis 3 ans. Ce lotissement est situé dans le quartier de Sauvage, rue de la Métropole et de la Garenne, en face de la voie ferrée, à proximité de la rocade. Dans une exellente ambiance, nous avons fait la fête jusqu’à une heure avancée de la nuit. Les photos ci-dessous montrent quelques uns des moments de cette soirée où nous avons pu admirer aussi un petit feu d’artifice.

Les Jeux
Les Jeux
Les Jeux
Les Jeux
Les Jeux
Les Jeux
Le repas
Le repas
Le repas
Le repas
Le repas
Le repas
La danse
La danse
La danse
La danse
La danse
La danse
Les gagnants
Les gagnants
Le discours de la Présidente
Le discours de la Présidente
Les perdants
Les perdants